Financement de l’archéologie préventive : ma question posée au Gouvernement
Lors des Questions orales sans débat du 9 décembre, à l’Assemblée nationale, j’ai interrogé le Gouvernement sur le financement de l’archéologie préventive, pilier indispensable de la préservation de notre patrimoine et de l’aménagement équilibré de nos territoires.
Aujourd’hui, cette mission est fragilisée par un déficit structurel et par une répartition inéquitable des ressources, qui pèsent lourdement sur l’ensemble des acteurs concernés, en particulier sur les collectivités territoriales. Ces difficultés compromettent la capacité à
mener des opérations dans de bonnes conditions, tout en garantissant la sécurité juridique et la prévisibilité des projets d’aménagement.
Face à cette situation, j’ai souhaité savoir quelles mesures concrètes le Gouvernement entend mettre en œuvre afin de garantir un financement stable, pérenne et équitable de l’archéologie préventive. Préserver notre patrimoine archéologique, c’est protéger notre histoire commune, soutenir la recherche scientifique et permettre un développement territorial respectueux de nos richesses culturelles.
Cette question engage notre responsabilité collective et appelle des réponses claires et durables.
Vous pouvez revoir mon intervention et la réponse du ministre en cliquant ici.